lundi 4 juillet 2011 Compiègne r1c1 1800 mètres

Bonsoir les tamal'tous (sans e)
Le quinté de dimanche était plutôt facile à trouver comme le dit Bruno , une fois l'arrivée .
14) Sandrine et GG
10)Sergio et RV
8) me devait de l'argent , c'est fait .
1) Thod et Una Ganga.
3)Nobody ou le Soumillon du jour .
Bravo pour le père Taktak , pour son multi à 18 €  et le quinté de Romulus .
J'ai rentre Sergio et OL  dans la stat .
J'attends des nouvelles de Dominique , elle était sûrement en week-end.

Demain jolie quinté de femelles , j'en connais une qui me doit de l'argent , ce serait sympa , si tous les canassons qui me doivent un peu de pognons , décident enfin à me rembourser , enfin Noël reste le 25 décembre mais le 15 août étant pas loin , pourquoi pas .
Quant à moi , j'ai une petite semaine de récup , cela va me permettre de me détendre un peu ,si vous voyez de quoi je veux parler .

Ah , j'allais oublié , Romulus va peut être nous reservir son 16 (samedi, dimanche, lundi ?) ça chambre un peu  mdr.

Tiens , j'ai retrouvé un affaire de paris hippiques ,j'ai trouvé cela intéressant ,autant la faire partager .Comme je le disais encore ces derniers temps , imaginez le parieur a qui ont fait le coup , quinté et n°+.
L'affaire Dominici.
José Dominici est, soit un homme obstiné, soit un homme qui croit en la Justice. En janvier 2005, parce que les commissaires de Vincennes n'ont pas fait leur travail (disqualifier un cheval qui avait commis plus de 15 foulées au galop, limite à une exemption de sanction, selon le règlement), Dominici a perdu sa mise... et le manque à gagner car il avait tous les autres chevaux de l'arrivée sur son ticket.

Dominici s'est naturellement tourné vers la Société du Cheval Français (organisateur) qui l'a éconduit. Après quoi, il l'a traduite en justice... et fut débouté à trois reprises, le dernier jugement (cassation) ayant été rendu à la mi-juin.

La justice ne met pas son nez dans le Code des Courses
Il est clair que la Justice de cette démocratie qu'est la France refuse de mettre son nez dans cette "cité interdite" que constitue le Code des Courses. Car, "sur le papier", comme disent les turfistes, l'affaire Dominici était imperdable. Les fautifs l'ont d'ailleurs reconnu eux-même ! Cependant, il s'agit d'un système hyper protégé où les censeurs sont souvent juge et partie et dont les bavures doivent être tacitement acceptées par ceux qui y souscrivent. C'est profondément injuste... mais c'est ainsi que cela fonctionne.
Personne ne vous oblige à jouer, vous rétorque-t-on, mais si vous le faites... vous devez en admettre les "dommages collatéraux".

Prendre le contre pied !
Que voilà une mauvaise publicité pour les courses ! Car, indirectement, le Législateur vous dit : si vous ne supportez pas les erreurs humaines, adonnez-vous aux jeux de hasard ! Là, au moins, la main de l'homme (ou de la femme, qui fait tomber les petites boules) est innocente.
Quel dommage que personne, au sein de l'institution des courses, n'ait pris le contre pied de cette lamentable affaire ! En disant, par exemple : "Regardez, ce parieur qui a été floué, nous l'indemnisons parce que nous nous sommes trompés." Autrement dit : l'erreur est humaine, mais nous sommes une corporation de gens honnêtes et compétents. Votre argent est en sécurité dans le cadre des règles édictées par notre code.
Une réputation nauséabonde
Au lieu de cela, l'affaire Dominici porte tous les virus des poncifs qu'on nous ressasse inlassablement sur le sport hippique : repère de bandits, courses truquées, etc. Une réputation nauséabonde que les médias généralistes se délectent d'entretenir... mais qui aurait pu croire que les concepteurs, eux-mêmes, eussent prêté le flanc à ces ragots ? Et même s'ils ne l'ont pas fait volontairement, c'est pourtant le résultat obtenu.
Le bon grain de l'ivraie
Bien sûr, on nous objecte que donner raison à un Dominici, c'est ouvrir la porte à tous les tricheurs et autres quémandeurs qui vont se déverser devant l'appareil judiciaire. Certes, mais il n'est pas difficile de séparer le bon grain de l'ivraie ; ça donne un peu plus de travail aux services juridiques... et un peu moins à la Communication.
Pendant ce temps, l'opiniâtre Dominici semble parti pour saisir la Cour Européenne. Sorti des frontières régaliennes, peut-être sera-t-il question de Justice ?
Allez savoir....

Voici le premier jet pour la course de lundi à Compiègne , en espérant que l'odeur ne soit pas trop persistante du fait du nom du prix .
2/5/10/12 c'est la course choisie , tocard 15 et 17 (14)

Bonne nuit
Air'v